12 Août : Journée internationale de la jeunesse 2025

Chaque 12 août, la communauté internationale célèbre la Journée internationale de la jeunesse, une occasion de mettre en lumière l’importance du rôle des jeunes dans la construction d’un avenir durable et pacifique. En 2025, cette journée est placée sous le thème « L’action locale des jeunes en faveur des objectifs de développement durable et au-delà», soulignant que pour faire progresser le monde, il faut commencer par les actions portées à l’échelle locale.

Les Nations unies rappellent que la jeunesse est un partenaire essentiel dans la réalisation des objectifs de développement durable (ODD), apportant créativité, innovation et un engagement profond dans leurs communautés. Cette journée revêt également une importance particulière en marquant le 30e anniversaire du Programme d’action mondial pour la jeunesse, qui réaffirme que lorsque les jeunes jouent un rôle majeur, les sociétés prospèrent.

Dans ce contexte, les Model United Nations (MUN), et en particulier des événements comme FerMUN, offrent un espace unique où les jeunes peuvent s’exprimer, débattre et développer des compétences essentielles. Ces simulations des Nations unies permettent aux participants d’explorer les grands enjeux internationaux et de comprendre le fonctionnement des institutions mondiales. Mais aussi de développer leur esprit critique, leurs capacités à argumenter, négocier et coopérer. Cela leur permet ainsi d’acquérir des compétences en communication, leadership et gestion de projets. Et surtout, de porter leur voix sur des problématiques mondiales, renforçant ainsi leur engagement citoyen.

Notre conférence Fermun, illustre parfaitement cet engagement. Elle rassemble chaque année des jeunes motivés à se former aux relations internationales tout en exerçant leur pouvoir d’influence au sein de débats structurés sur des questions variées : intelligence artificielle, droits humains, développement durable, etc.

Ces conférences représentent un véritable incubateur pour la jeunesse, leur offrant un environnement stimulant et éducatif où ils peuvent devenir des acteurs du changement, à la fois localement et globalement. Elles incarnent concrètement le message fort de la Journée internationale de la jeunesse : l’action des jeunes, commencée à l’échelle locale, peut transformer le monde.

Alors que plus de 1,2 milliard de jeunes peuplent la planète, dont beaucoup font face à des défis considérables comme le chômage, les conflits ou l’exclusion, renforcer ces espaces d’expression et de formation est plus que jamais une nécessité.

La Journée internationale de la jeunesse 2025 invite donc tous les acteurs, des gouvernements aux organisations de jeunesse en passant par les éducateurs, à investir dans ces plateformes participatives et formatrices pour offrir aux jeunes un avenir où leur voix compte réellement.

Ruben Buchot 

FerMUN 2026 : Deux nouveaux comités, la FAO et l’OMS, rejoignent la conférence

Pour sa 16ᵉ édition, FerMUN 2026 réintroduit deux comités en dehors du cadre traditionnel de l’OIT. Contrairement aux comités de l’OIT, organisés sous forme tripartite, ces nouvelles instances reprendront le format classique des agences onusiennes. Les deux organismes choisis sont la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).
Le comité FAO sera présidé par Leya Petijean, Hanae Schwebel et Lina Ben Massaouda, tandis que le comité OMS sera dirigé par Elisa Bourguignon, Eulalie Bohler et Lorena Peter.

Le comité FAO : garantir la sécurité alimentaire mondiale

Créée en 1945, la FAO est l’agence spécialisée de l’ONU chargée de lutter contre la faim et d’améliorer la nutrition dans le monde. Elle regroupe aujourd’hui 195 États membres et agit à travers le Conseil de la FAO, présidé depuis 2019 par Qu Dongyu. Son objectif principal : assurer à chacun un accès régulier à une alimentation saine, suffisante et durable.

La FAO accompagne les pays dans leurs politiques agricoles, la gestion de l’élevage, de la pêche et de la foresterie, tout en renforçant la sécurité alimentaire dans plus de 100 pays. Elle pilote également des initiatives majeures, comme le Programme spécial pour la sécurité alimentaire, visant à réduire drastiquement la faim dans le monde, ou encore le système AMIS (Agricultural Market Information System), qui améliore la transparence des marchés agricoles internationaux.

Parmi ses grandes réussites, on peut citer l’éradication de la peste bovine en 2011 (une victoire comparable à l’élimination de la variole chez l’humain) ou encore la Révolution verte des années 1960-70, qui permit à des centaines de millions de personnes en Asie d’échapper à la famine, grâce aux nouvelles variétés de céréales. La FAO est également à l’origine de programmes novateurs tels que « Zéro Faim » au Brésil, qui ont inspiré des politiques continentales en Amérique latine.

Le comité OMS : un acteur clé de la santé publique mondiale

Fondée en 1948, l’OMS coordonne aujourd’hui 194 États membres depuis Genève, en s’appuyant sur un réseau de plus de 150 bureaux de pays. Son but est clair : « amener tous les peuples au niveau de santé le plus élevé possible ». Dirigée par Tedros Adhanom Ghebreyesus, l’organisation agit sous la gouvernance de l’Assemblée mondiale de la Santé et de son Conseil exécutif de 34 experts.

Ses missions couvrent un large éventail : réponse internationale aux crises sanitaires, appui aux gouvernements dans le renforcement des systèmes de santé, définition de normes médicales mondiales, gestion des épidémies et développement de stratégies de prévention.

L’OMS est notamment connue pour ses victoires majeures telles que l’éradication de la variole en 1979, première maladie humaine totalement éliminée, la lutte contre la polio, le VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme, grâce à des campagnes massives de vaccination et des partenariats internationaux. Mais également la gestion de crises récentes, telles que la pandémie de COVID-19 ou l’épidémie d’Ebola et elle est également à l’origine du le lancement du concept des Soins de santé primaires (PHC) en 1978, qui reste une référence mondiale.

Avec l’arrivée de la FAO et de l’OMS, FerMUN 2026 offrira aux délégués une immersion inédite dans deux des agences les plus influentes du système onusien. Entre lutte contre la faim et défis sanitaires mondiaux, les jeunes diplomates auront l’occasion de débattre de problématiques cruciales et de proposer des solutions ambitieuses.

FerMUN 2026 s’annonce ainsi comme une édition exceptionnelle, plaçant la sécurité alimentaire et la santé publique au cœur des négociations.

Ruben Buchot

MockMUN 2025 : Une journée de diplomatie grandeur nature

Mercredi 11 juin 2025, le Lycée international de Saint-Genis-Pouilly s’est transformé en un véritable microcosme onusien. Élèves en costumes impeccables, discours enflammés, débats rigoureux : le MockMUN, conférence d’entraînement à FerMUN exclusivement réservée aux délégués du lycée, a offert une simulation intense et formatrice pour les jeunes diplomates en devenir.

La journée a débuté par une cérémonie d’ouverture présidée par Manon Grivotet, Secrétaire Générale adjointe chargée des présidents. Le Secrétaire Général Abdul-Salam Antwi a ouvert les discours en rappelant l’importance de cet entraînement. Manon Wolniak, SG adjointe responsable des délégués, a encouragé chacun à s’engager pleinement dans les débats et à rappeler l’important impact de cette conférence, son côté formateur et émancipateur à quelques jours des échéances de l’épreuve anticipée de français pour certains.

Charlotte Brandon, responsable de l’interprétation, a souligné la richesse du multilinguisme à FerMUN, en mettant l’accent sur le rôle particulier du Comité 3, seul comité trilingue. Des discours ont également été prononcés par Madame Anquez, Proviseure adjointe du lycée, et Monsieur Launay, avant que deux présidents de chaque comité ne présentent leur problématique. Enfin, une vidéo d’ouverture réalisée par l’équipe de presse a été diffusée, lançant officiellement cette journée de simulation.

Dans le Comité 1, consacré à la protection des journalistes, les échanges furent vifs autour de sujets sensibles tels qu’un système de classement des journalistes ou la place des religions dans la réflexion médiatique. Tensions, alliances et retournements diplomatiques ont animé les débats, démontrant la complexité de la question.

Le Comité 2 sur l’environnement s’est illustré par son atmosphère constructive. Portée par la Sierra Leone, une résolution a servi de base à des amendements collectifs. Les délégués ont proposé des solutions innovantes, comme des taxes sur les énergies non renouvelables ou la diversification des cultures, à l’image de la Côte d’Ivoire.

Au sein du Comité 3, dédié aux droits des personnes LGBTQIA+, deux visions du monde se sont affrontées : l’une inclusive, portée par les Pays-Bas et ayant pour co-signataires la France et le Brésil ; l’autre conservatrice, représentée notamment par le Nigeria. L’opposition entre les deux blocs a conduit à des débats intenses, révélant les fractures mondiales autour de ces enjeux.

Enfin, le Comité 4, sur la militarisation de l’espace, a rassemblé cinq grandes puissances pour un débat technique mais animé. Malgré une représentativité limitée, le dynamisme des délégués a permis l’adoption d’une résolution équilibrée, rejetant la militarisation tout en promouvant la coopération scientifique.

La cérémonie de clôture, présidée cette fois par Manon Wolniak, a permis de saluer le travail de chacun. Manon Grivotet a remercié les présidents pour leur implication et leur sérieux tout au long de la journée ainsi que durant leur formation. Les deux autres présidents de chaque comité ont, à leur tour, salué l’engagement des délégués et les décisions prises menant à des résolutions constructives. 

Livia Cauderan et Octave Nesme Jacolino, responsables de la traduction, ont exprimé leur gratitude à leurs équipes. Ruben Buchot, responsable de la presse et de la communication, a remercié ses journalistes avant de lancer la vidéo de clôture.

Léna Seidenbinder et Adèle Philippon, responsables des admins et du Fonds de solidarité, ont rappelé l’importance de l’entraide logistique et financière dans la réussite de FerMUN. Enfin, Madame Baudry a conclu la cérémonie avec un hommage à Madame Ruez, professeur MUN, pour qui il s’agissait de la dernière conférence aux côtés des élèves.

Le MockMUN 2025 a permis à toutes les équipes de se préparer dans des conditions réelles et a rappelé ce que représente FerMUN : un projet collectif, multilingue, exigeant et profondément humain.

Ruben BUCHOT

Comment les Nations Unies garantissent-elles la liberté de la presse ?

Le 3 mai est la Journée internationale de la liberté de la presse. C’est l’occasion idéale pour revenir sur les différentes actions entreprises afin de protéger les journalistes.

« La presse est le seul rempart contre la tyrannie », affirmait George Washington. Cette citation met en lumière l’importance d’une presse indépendante, aussi bien sur le plan économique qu’idéologique. Pourtant, la liberté de la presse recule partout dans le monde. Selon Anne Bocandé, directrice éditoriale de Reporters sans frontières (RSF), « sans indépendance économique, il n’y a pas de presse libre ». Or, de plus en plus de médias sont rachetés par des investisseurs qui en profitent pour diffuser leurs idéologies. À cette problématique économique s’ajoute celle de la sécurité des journalistes : en 2024, 122 journalistes ont été tués dans l’exercice de leur métier. Selon l’UNESCO, « 86 % des crimes commis contre des journalistes restent impunis », et plus de 1 700 journalistes ont été tués au total. Comment, dès lors, garantir un journalisme libre, alors que même des pays comme les États-Unis sont désormais classés comme « problématiques » par RSF, chutant à la 57e place dans le classement mondial de la liberté de la presse ?

Tout d’abord, l’UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture) a mené des actions de sensibilisation. L’une des principales est la création, en 1991, de la Journée internationale de la liberté de la presse, à la suite de la Déclaration de Windhoek. Cette journée vise à sensibiliser la population mondiale aux risques encourus par les journalistes, pour garantir un accès global à l’information. Elle a également conduit à la création du Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano, du nom d’un journaliste colombien assassiné pour avoir dénoncé l’infiltration de Pablo Escobar dans la politique. Ce prix récompense chaque année une personne, une organisation ou une institution œuvrant en faveur de la liberté de la presse.

Mais qu’est-ce que la Déclaration de Windhoek ? Rédigée en mai 1991 par une soixantaine de journalistes africains à l’issue du Séminaire pour le développement d’une presse africaine indépendante et pluraliste, organisé par l’UNESCO et les Nations Unies, cette déclaration est souvent considérée comme le point de départ des textes adoptés en faveur de la liberté de la presse. Elle a déclenché le « processus de Windhoek », un mouvement de prise de conscience mondiale des conditions d’exercice du journalisme. Parmi les conséquences concrètes de ce processus figurent :

  • La création du réseau d’alerte mondial International Freedom of Expression Exchange (IFEX), qui signale les violations des normes internationales et soutient les journalistes en danger ;
  • Le soutien du Programme international pour le développement de la communication (PIDC), qui aide les médias à préserver leur indépendance financière.

Les Nations unies ont également adopté un Plan d’action pour la sécurité des journalistes et la question de l’impunité. Celui-ci repose sur six axes : la sensibilisation, la définition de normes internationales, la mise en œuvre de politiques spécialisées (ayant déjà permis de renforcer la législation dans plus de 50 pays), le suivi et l’établissement de rapports, le renforcement des capacités de protection et d’assistance juridique, ainsi que la recherche. Ce plan a aussi conduit à la création de la Coalition pour la sécurité des journalistes (CSJ), qui favorise la coopération internationale pour lutter contre l’impunité.

Enfin, un partenariat avec l’Institut Bonavero des droits de l’Homme (Université d’Oxford) a permis la mise en place de formations en ligne (MOOC) à l’échelle mondiale, portant sur la liberté d’expression et la sécurité des journalistes. Ces formations, destinées aux acteurs judiciaires, ont débuté en mai 2021. Elles ont notamment permis une meilleure compréhension des cadres juridiques et la préparation d’études de cas, y compris sur les violences genrées visant les femmes journalistes. À la suite de ce MOOC, 23 000 acteurs judiciaires et représentants de la société civile, issus de 150 pays, ont été formés.

En conclusion, l’UNESCO collabore avec de nombreux acteurs étatiques et privés pour défendre la liberté de la presse et protéger les journalistes. Le danger auquel ces derniers sont exposés est mondial : on peut citer Juan Dayang, assassiné le 13 mai aux Philippines, ou encore Hilmi Al-Faqawi et Ahmed Mansour, tués par des frappes israéliennes dans la bande de Gaza le 7 mai 2025. La liberté de la presse reste donc un combat urgent et fondamental pour les droits humains.

Elio DO VALE MARTINS

FerMUN 2026 : au cœur du processus de sélection des présidents de comité

Lorsque l’assemblée est en plein débat et qu’un délégué lance soudainement : « Motion pour passer à la procédure de vote ! », un « Secondé ! » général retentit. À ce moment-là, tous les présidents de comité échangent un regard mêlé de panique et d’incertitude. Mais un simple hochement de tête de Manon Grivotet, alors Secrétaire Générale en charge de leur formation, suffit à les rassurer. L’un d’eux prend une inspiration et annonce d’une voix ferme: « Nous allons donc à présent passer à la procédure de vote. » Lors de la plénière finale de la résolution de FerMUN 2025, quatorze présidents en apprentissage, ayant passé avec succès la première étape du processus de sélection, ont eu l’opportunité de faire leurs preuves face à l’assemblée lors du débat ouvert puis lors du débat fermé, épaulés par les quatre présidents titulaires déjà confirmés.

Une formation exigeante, un engagement total

Être président de comité à FerMUN ne s’improvise pas. Au cœur de la simulation onusienne, les présidents de comité ont un rôle clé : encadrer les débats, garantir la procédure, maintenir un rythme, tout en restant à l’écoute des délégués. Pour FerMUN 2026, le processus de sélection a été une fois encore rigoureux. Encadrés par Manon Grivotet, les candidats à la présidence ont d’abord suivi une première phase de processus de sélection. Ensuite vient la mise en situation réelle : lors du débat de la résolution de  FerMUN 2025, ces élèves ont pu s’exercer dans les conditions du direct, en co-présidant une assemblée remplie de muners.

Une formatrice engagée aux côtés des présidents

Pour Manon Grivotet, ce rôle de mentor est une évidence. Elle confie : « C’est très important pour moi de les accompagner dans leur formation parce que j’ai eu l’immense chance d’avoir moi-même reçu des conseils et des connaissances de notre ancienne DSG Chair Jasmine. J’espère pouvoir leur apporter mes connaissances basées sur mon expérience et celles d’autres présidents, et être à leurs côtés tout au long de la préparation et de la conférence. Je suis sûre qu’ils vont aussi m’apporter une vision nouvelle du rôle de présidente, et j’ai hâte de nouer des liens forts avec eux ! »

Une équipe de présidents expérimentés pour guider les nouveauxCette année, quatre élèves ont été désignés comme présidents titulaires :
Leya Petitjean, Lena Quéguiner, Filip Drozd et Jasmine Eugene, dont l’expérience et la rigueur servent de référence. À leurs côtés, les quatorze élèves en apprentissage forment une promotion prometteuse, déjà confrontée aux responsabilités d’un comité : Blaise , Maya , Eulalie , Elisa , Charlotte , Grégoire , Laurent , Clara , Mathilda , Hanae , Nicky , Typhaine , Harriet et Aimie.
Ces apprentis présidents devront encore faire leurs preuves dans les mois à venir, notamment lors du MockMUN, où la présidence des comités leur sera confiée. Une sélection finale sera opérée à la fin de l’année scolaire, avant la conférence FerMUN 2026. Pour eux, l’objectif est clair : incarner la neutralité, la bienveillance et la maîtrise qui font la réputation des présidences FerMUN. Plus qu’un rôle, une responsabilité.

FerMUN 2026

Un nouveau conseil pour une nouvelle ambition

Après le succès incontestable de l’édition FerMUN 2025, qui a rassemblé près de 700 élèves venus des quatre coins du monde à l’Organisation Internationale du Travail pour débattre des enjeux diplomatiques liés au travail, FerMUN 2026 se met d’ores et déjà en marche. La première étape essentielle : la constitution de son nouveau conseil des élèves. Composé de neuf membres déterminés, ce conseil est prêt à mobiliser toutes ses compétences afin de faire de l’édition 2026 un événement aussi marquant que le précédent. Partons à la découverte de cette nouvelle équipe !

À seulement 16 ans, Abdul-Salam Antwi est le Secrétaire Général de FerMUN 2026. Élève en première au lycée international de Ferney-Voltaire, il suit les spécialités Mathématiques, Physique et NSI. Passionné de football depuis l’enfance, il suit avec fidélité les performances du club d’Arsenal.

Ce qui l’a poussé à rejoindre le conseil, c’est la volonté de participer activement à l’organisation d’un événement marquant. L’émotion vécue par les membres du board 2025 lors de la cérémonie de clôture l’a profondément inspiré. Cette scène l’a convaincu de s’investir à son tour dans ce projet ambitieux.

Pour cette édition, il souhaite créer une atmosphère dynamique, bienveillante et enrichissante. Son objectif principal : faire de FerMUN 2026 une édition pleinement trilingue. En tant que coordinateur général, il s’assure du bon fonctionnement de toutes les équipes et veille à offrir à chaque participant une expérience mémorable.

Enfin, Abdul tient à encourager les délégués à s’investir pleinement dans les débats. Pour lui, FerMUN est une véritable scène internationale où chaque discours est une pierre ajoutée à l’édifice du dialogue mondial.

Manon Grivotet, 16 ans, élève en première au lycée de Ferney-Voltaire, est Secrétaire Générale adjointe chargée des présidents. Franco-japonaise, elle a grandi au Japon et à Hong Kong. Passionnée de danse, de musique et de débats, elle découvre FerMUN comme traductrice en 2024, avant de devenir présidente de comité en 2025.

Ce parcours l’a convaincue de rejoindre le conseil. Inspirée par les discours des anciens SG et l’esprit d’équipe du board, elle voit FerMUN comme un espace de croissance personnelle. Elle souhaite former une équipe de présidents soudée, motivée, et confiante, capable de mener des débats de qualité.

Manon souhaite aussi renforcer l’initiative Jean Calas, qui sensibilise les élèves de primaire aux enjeux internationaux, en y ajoutant des règles de débat et des échanges plus interactifs.

Disponible, à l’écoute et investie, elle veut être une guide pour les présidents, les accompagner dans leurs doutes, organiser des échanges avec les présidents extérieurs, et faire de FerMUN 2026 une expérience d’apprentissage aussi riche qu’inoubliable.

Manon Wolniak est cette année la Secrétaire Générale adjointe chargée des délégués au sein du conseil de FerMUN 2026. Élève au lycée de Saint-Genis-Pouilly, elle est passionnée de sport, de voyages et de lecture. Elle aime avant tout découvrir de nouvelles expériences, et FerMUN en est une qu’elle considère comme particulièrement marquante et enrichissante.

Dès sa première participation, elle a été séduite par l’ambiance unique de la conférence, l’ouverture d’esprit des participants et la diversité des débats. Intégrer le board représentait pour elle une occasion de s’engager plus activement dans un projet collectif d’envergure, tout en développant ses propres compétences.

Convaincue que FerMUN est avant tout un lieu d’échange, de dialogue et de relations humaines, elle souhaite mettre l’accent sur le développement des compétences orales des délégués. Son ambition est que chaque participant se sente à l’aise pour s’exprimer, débattre avec confiance et s’affirmer au sein des débats.

Son objectif est aussi de créer un environnement bienveillant, où chaque délégué, quel que soit son niveau d’expérience, peut progresser et prendre du plaisir à débattre. Elle compte organiser des formations dynamiques, favoriser l’entraide entre délégués et veiller à ce que chacun trouve sa place dans l’aventure FerMUN.

Pour Manon, le dialogue et l’écoute sont des éléments essentiels, plus que jamais nécessaires pour construire un monde meilleur. En rejoignant le conseil, elle espère transmettre sa passion et accompagner au mieux les futurs délégués dans leur parcours.

Léna Seidenbinder, 16 ans, occupe cette année le poste de responsable des admins et du fonds de solidarité pour FerMUN 2026 aux côtés d’Adèle Philippon. Passionnée d’escalade, de motocross et de musique, elle aime relever de nouveaux défis et s’investir pleinement dans ses projets. Inspirée par les anciens boards, elle a voulu s’impliquer à son tour dans l’organisation d’une conférence aussi exigeante et enrichissante.
Elle aspire à une édition marquée par la bienveillance, l’ouverture et le respect, des valeurs fondamentales de FerMUN.

Un objectif central pour elle cette année est de renforcer la reconnaissance du rôle des admins, souvent sous-estimé alors qu’il est essentiel au bon déroulement de l’événement.
Elle se voit comme une mentor pour les nouveaux admins, veillant à leur offrir une première expérience stimulante et valorisante.
Par ailleurs, elle s’engage activement dans le fonds de solidarité, en organisant ventes et actions pour faciliter l’accès à la conférence. Pour Léna, chaque membre mérite d’être pleinement reconnu, car c’est ensemble que FerMUN peut rayonner.

Adèle Philipon, élève en première sur le site de Saint-Genis, est cette année responsable des admins et du fonds de solidarité aux côtés de Léna Seidenbinder. Passionnée par les voyages, la lecture, le ski et la danse, elle aime partager des moments de joie avec les autres. Autrefois freinée par sa timidité, elle a peu à peu pris confiance en elle grâce à FerMUN, jusqu’à rejoindre le conseil, ce qui représentait un véritable défi personnel.

Elle a exploré plusieurs rôles lors des éditions précédentes, et intégrer le board était pour elle l’ultime expérience à vivre. Cette édition est l’occasion pour elle de contribuer à des débats profonds, tout en cultivant la convivialité qui fait la force de FerMUN.

Avec Léna, elle souhaite valoriser les admins et rendre la conférence plus accessible grâce au fonds de solidarité. Elle considère les admins comme les futurs piliers de FerMUN, et veut leur offrir une première expérience inoubliable, riche en apprentissages, rires et découvertes.

Ruben Buchot, 17 ans, est en première au lycée de Ferney-Voltaire et occupe le poste de responsable de la presse et de la communication pour FerMUN 2026. Passionné de théâtre depuis plus de dix ans, il s’intéresse aussi à la littérature, la géopolitique, la natation et l’écriture. C’est cette dernière passion, alliée à un attrait pour l’informatique, qui l’a conduit à envisager un parcours dans le journalisme.

Fasciné par l’équipe presse dès sa première participation à FerMUN, il a suivi son évolution avec admiration. Aujourd’hui, il souhaite y apporter sa propre vision : une presse investie, créative et rigoureuse.

Son objectif est de produire des articles de qualité qui reflètent fidèlement l’intensité des débats et la richesse de la conférence. Il veut aussi faire rayonner FerMUN au-delà de ses murs grâce à différents supports : articles, vidéos, réseaux sociaux.

Pour Ruben, la presse joue un rôle essentiel : témoin discret mais omniprésent, elle immortalise l’événement et en transmet l’esprit, permettant à chacun d’en garder une trace vivante.

Charlotte Brandon est la responsable de l’interprétation pour FerMUN 2026. Enthousiaste, ouverte et curieuse, elle aime s’engager dans des projets collectifs où règnent l’échange, le respect et la volonté de progresser ensemble. Rejoindre le conseil représentait pour elle une opportunité unique de s’impliquer davantage dans une conférence qu’elle admire depuis longtemps.

Son objectif est clair : offrir aux interprètes un environnement bienveillant et stimulant, où chacun pourra développer ses compétences et prendre confiance. Elle souhaite optimiser l’efficacité de l’équipe tout en introduisant l’espagnol comme troisième langue officielle, aux côtés de l’anglais et du français. Pour elle, cela permettrait de renforcer l’inclusion et d’ouvrir FerMUN à un public plus large.

Charlotte souhaite également transmettre aux interprètes l’envie de se dépasser, dans une ambiance motivante et solidaire. En dehors de FerMUN, elle est passionnée de ski et s’entraîne régulièrement à Villard, avec l’ambition de devenir monitrice. Comme à la montagne, elle voit dans FerMUN une aventure humaine où l’on apprend à progresser ensemble, pas à pas.

Livia Cauderan, franco-américaine, est responsable de la traduction en anglais pour FerMUN 2026. Passionnée par les langues et convaincue du rôle crucial de la communication dans un événement international, elle est déterminée à offrir une traduction de qualité et garantir une expérience fluide pour tous.

Livia a rejoint le conseil pour contribuer à la réussite de FerMUN et participer à un événement qui dépasse les frontières de Ferney-Voltaire pour rassembler des délégués du monde entier. Elle souhaite que chaque participant, qu’il soit délégué, interprète, traducteur ou admin, soit bien préparé et impliqué.

Elle met un point d’honneur à garantir que les échanges se fassent dans un environnement clair et précis, tout en veillant à ce que les équipes de traduction soient soutenues et formées.
Convaincue que le trilinguisme est la clé de l’inclusion, Livia espère que cette édition favorisera un dialogue véritablement international. Sa mission est d’assurer la fluidité des débats pour que chaque voix puisse être entendue, quelle que soit la langue.

Octave Nesme Jacolino est le responsable de la traduction espagnole pour FerMUN 2026. Passionné par l’espagnol, il a décidé de rejoindre le board pour renforcer la dimension trilingue de la conférence et accroître la représentation des pays hispanophones, encore trop peu présents. Cet engagement représente pour lui l’aboutissement de son apprentissage de la langue, dans laquelle il a investi beaucoup de temps et d’efforts.

Son objectif est d’offrir une traduction fluide et accessible pour les participants, afin de garantir des échanges de qualité. En tant que responsable de la traduction, il souhaite encourager les traducteurs à travailler ensemble, dans une ambiance de soutien et de collaboration.

En dehors de FerMUN, Octave pratique le tennis, dessine et s’entraîne à la photographie, des passions qui nourrissent sa créativité et son sens de l’observation. Pour lui, chaque projet est une occasion de repousser ses limites et d’explorer de nouvelles perspectives, tout comme dans la traduction, où il cherche à faire de chaque texte un pont entre les cultures.

À la découverte d’un acteur essentiel de l’écosystème MUN : plongeons-nous dans le rôle de présidents de comités 

Le modèle de simulation des Nations Unies de Ferney-Voltaire (FerMUN) est un écosystème vaste et riche, où chaque rôle est unique et contribue à l’expérience diplomatique de différentes manières. L’un des rôles les plus complexes que peuvent endosser les jeunes étudiants est celui de président de comité. Dans cet article, nous allons découvrir tout ce qu’il y a à savoir sur ce poste fascinant, à travers les yeux des présidents de FerMUN 2025 !

L’objectif de FerMUN est de rassembler de jeunes étudiants du monde entier pour participer à des simulations diplomatiques qui ressemblent le plus possible à celles des Nations Unies. Toutes les conférences des Nations Unies sont structurées en plusieurs assemblées ou comités présidés par une ou plusieurs personnes, généralement appelées “présidents”. Au cœur des débats, ces derniers assument des responsabilités considérables qui déterminent leur issue, et celle de la conférence dans son ensemble.

« Selon moi, un président de comité est impliqué à la fois dans le débat mais aussi dans l’organisation. En effet, celui-ci se doit de bien gérer le débat : la prise de parole, les points et motions, le lobbying, les amendements, etc… Toutefois il doit aussi s’investir dans l’organisation de la conférence, en rédigeant un rapport de recherche lié à la problématique qui sera débattu plus tard par les délégués.» – Rayan, président de comité en terminale 

Bien avant le début des débats, les présidents commencent à travailler dur en préparant les problématiques qui seront débattues. Ils effectuent des recherches méticuleuses sur le sujet qui leur a été assigné et formulent deux questions sur lesquelles les délégués débattront. Une fois les questions formulées, chaque président consolide ses recherches et les connaissances acquises en rédigeant un rapport de recherche approfondi. Ce rapport est une ressource essentielle utilisée par les délégués pour comprendre la question et commencer à élaborer la position de leur délégation pour le débat. C’est une étape indispensable dans la préparation de la conférence, la base sur laquelle les débats sont construits. 

« Les présidents sont là pour veiller à ce que le débat progresse dans un environnement respectueux afin que l’échange entre les délégués soit le plus fructueux possible. » -Mina, une présidente de comité en terminale

Une fois la conférence commencée, les présidents assument une difficile et nouvelle responsabilité : gérer des dizaines de délégués ainsi que les admins, les traducteurs et les interprètes de leur comité pendant trois jours. Les présidents doivent garder l’œil sur l’horloge pour s’assurer qu’il y aura assez de temps pour faire des jeux de icebreaker , assurer une phase de lobbying, déposer des amendements, prononcer des discours et tout le reste. La gestion du temps n’est pas leur seule responsabilité : ils doivent aider leurs délégués à trouver des solutions innovantes et intéressantes au problème posé, tout en collaborant avec les autres délégués et en menant des débats constructifs en cas de divergences. 

«Certes, maintenir l’ordre est une des priorités du président, mais celui-ci se doit également de rester bienveillant envers ces camarades quel que soit leur rôle et les rassurer en cas de besoin. Celui-ci se doit également d’être digne de confiance et de communiquer le moindre problème aux directeurs MUN. Une bonne équipe est fondée par des lien solides de bienveillance et de confiance. » -Rania, présidente de comité de la première

Tous les bons présidents s’accorderont à dire qu’une attitude amicale et polie est essentielle à la réussite de la conférence. En effet, un président de comité doit s’assurer d’être amical et sociable avec ses délégués, ses coprésidents, ses admins, ses traducteurs et interprètes, ainsi qu’avec les autres membres du conseil des élèves et les directeurs de FerMUN. En établissant des liens et des relations positives avec chacun, les présidents veillent à ce que la conférence se déroule sans heurts dans un environnement calme, où chacun peut tirer le meilleur parti d’une conférence réussie !

Marta Prokopchuk

Dorothea Schmidt-Klau, experte pour ILO6, comité sur la solidarité.

Dorothea Schmidt-Klau, directrice de l’emploi, des marchés du travail et de la jeunesse à l’OIT est intervenue dans l’ILO 6, et s’est exprimée à propos des politiques de solidarité à adopter afin de réduire le chômage. 

Selon elle, parler du chômage c’est parler de créations d’emplois. Le plus important n’est pas la quantité d’emplois créés, mais la qualité de ceux-ci; on parle d’emploi décent. Il s’agit pour le travailleur de disposer d’un salaire suffisant et d’être en sécurité, tout en ayant la possibilité de s’exprimer sur les choix de l’entreprise.

Mme Schmidt-Klau ajoute avec certitude que la réduction de la pauvreté passe par la création d’emplois décents et que ceci est la seule stratégie durable pour sortir de la pauvreté. En effet, dans les pays où seuls certains jeunes reçoivent un haut niveau d’enseignement, le manque d’emplois crée de la frustration. C’est pourquoi investir uniquement dans l’éducation et non dans le nombre d’emplois présente un risque pour la société. Des institutions permettant de faire correspondre l’offre en nombre de travailleurs et la demande sont donc nécessaires. En Europe, le problème inverse se pose. En effet, à cause du problème démographique, il y a de moins en moins de jeunes et l’offre est donc inférieure à la demande. Les représentants politiques doivent donc prendre en compte la réalité, en s’appuyant sur la mondialisation, les changements climatiques et démographiques, afin de créer un cadre réaliste et favorable pour chaque Etat et citoyen.

Y a-t-il un risque pour les travailleurs d’être remplacés par des robots dans le futur ?

D’après Mme Schmidt-Klau, la décision de remplacer certains postes par des robots est une décision politique, dont l’OIT doit assurer le cadre, afin de garantir des conditions idéales de travail. En outre, la technologie crée plus d’emplois qu’elle n’en détruit, et crée des emplois avec de meilleures conditions.

Quelles solutions peuvent être mises en place afin d’éradiquer le travail forcé ?

Tout d’abord, Mme Schmidt-Klau rappelle qu’ “Il n’y a pas d’excuse pour le travail forcé, pas de justification” et que celui-ci va à l’encontre de tous les principes de l’ONU. La solution possible pourrait être d’éduquer les enfants, afin qu’ils aillent à l’école au lieu de travailler, plutôt que d’interdire le travail forcé. Des solutions tripartites, prenant en compte l’avis du gouvernement, des travailleurs, et des employeurs, peuvent être envisagées. Cependant, elles débouchent souvent sur des solutions non concluantes, les avis des parties étant trop différents. Les politiciens ont une vision plus “réaliste”, ils ont conscience que les politiques radicales ou idéalistes sont difficiles à mettre en place.

Comment pourrait-on rendre les pays africains plus attractifs, sur le plan de l’emploi ?

Paradoxalement, la fuite des cerveaux (les travailleurs partent vers des pays plus développés) peut être une solution en quelque sorte, permettant au pays de rayonner à l’international. On ne peut pas s’attendre à ce que les pays d’Afrique créent autant d’emplois que les pays développés.

En quoi être informé sur la situation du marché du travail peut aider à prendre des décisions politiques ?

C’est ici que les employés de l’OIT interviennent. Ils se rendent dans les pays où se posent le plus de problèmes et aident à trouver des solutions, même si cela peut être difficile. Ici, les technologies peuvent grandement aider, en évaluant les impacts positifs ou négatifs des décisions politiques sur les populations. Les employés de l’OIT négocient alors avec les dirigeants politiques, les travailleurs et les employés, et s’accordent avec eux sur des solutions adaptées à leur pays. Ces solutions sont ensuite discutées dans les différents pays afin de trouver le meilleur moyen de les adapter à la légalité de chaque Etat. 

Finalement, l’intervention de Mme Schmidt-Klau a été très enrichissante pour l’ensemble des élèves présents, et leur a permis d’approfondir leur réflexion sur leur problématique, et d’enrichir leurs résolutions.

Noa Compte, Loan Nicot

Collaboration mondiale sans précédent dans le cadre du comité OIT 2 pour lutter contre le racisme au travail

Au cours d’une session historique, le Comité 2 de l’Organisation Internationale du Travail (OIT 2) a réuni des représentants de trente trois Etats pour aborder la question pressante du racisme au travail. Sous la présidence d’Adrienne Husny, Grace Baylis et Selma Surieux, le comité cherchait des solutions pour combattre le racisme et remettre en question les stéréotypes de genre dans le secteur tertiaire.

Le comité, composé de nations influentes telles que les États-Unis, la Chine et le Royaume-Uni, a reconnu la nécessité urgente d’agir face à la montée alarmante de la discrimination au travail, fondée sur les origines ethniques. La résolution menée par des porte-paroles de la Suède, a obtenu un soutien significatif de cosignataires tels que l’Allemagne, l’Arabie saoudite et l’Australie.

Les membres du comité ont souligné l’importance fondamentale de favoriser un environnement de travail inclusif, où la diversité ne soit pas seulement acceptée mais célébrée. Les interventions de divers délégués ont réitéré le sentiment selon lequel la discrimination au travail entrave la justice sociale et la paix mondiale durable.

Un des volets de la résolution qui a attiré une attention particulière concerne la création d’une instance de suivi au sein de l’OIT. Cette instance jouerait un rôle crucial dans la collecte d’informations, l’élaboration de lignes directrices internationales pour protéger les lanceurs d’alerte, et la réalisation de tests statistiques sur les entreprises pour analyser leurs réponses aux problématiques de discrimination.

L’un des aspects novateurs de la résolution est l’appel à la transparence des grandes entreprises concernant les écarts salariaux ethniques. Les entreprises de plus de 250 employés sont encouragées à divulguer les disparités salariales et pourraient faire l’objet 

Léa Mongenot et Kenza Zaulfikaraly

FerMUN 2024 : c’est parti !

La 14è édition de la Modélisation des Nations Unies organisée par le Lycée International de Ferney Voltaire commence mercredi 10 janvier par une grande cérémonie d’ouverture au Palais des Nations à Genève. 560 lycéens de 22 pays participeront ensuite à des simulations de négociations sur le thème du Travail, pendant 3 jours, dans les locaux de l’Organisation Internationale du Travail.

Les temps forts :

Mercredi 10 janvier :
10h00 : cérémonie d’ouverture au Palais des Nations, Genève
12h00-14h00 : repas à l’Organisation Internationale du Travail (OIT)
14h00-17h30 : débats dans les 6 comités (à l’OIT)

Jeudi 11 janvier :
8h30-12H00: débats dans les 6 comités (à l’OIT)
12h00-14h00: repas à (OIT)
14h00-18h00: débats dans les 6 comités (à l’OIT)

Vendredi 12 janvier :
8h30-12H00: débats dans les 6 comités (à l’OIT)
12h00-14h00: repas à l’OIT
14h00-16h00: débats dans les 6 comités (à l’OIT)
16h30-18h00 : cérémonie de clôture à l’OIT
18h00-21h00 : soirée de clôture à l’OIT